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22/12/2014

Mon premier blog est à nouveau en ligne.

 

Le voile bleu

 

…pour celles et ceux qui savent ce dont il s’agissait et où il se trouve, ils peuvent y passer à nouveau désormais !

Enjoy…













24/12/2013

Meilleurs Voeux à vous!

 

Joyeux Noël, Père Noël, Toulouse-Lautrec, parodie

 

Image du Père Noël chez Lautrec taguée par moi mais en provenance du blog "Santa Classics".



A vous toutes, à vous tous, un très Joyeux Noël, une belle fin d’année et un 2014 féérique…





28/09/2013

Les Temps Modernes?

 

travail, aliénation, Jenni Holma

Photo © Jenni Holma.

 

 

Cette année, j’en perds la tête !

Et le temps de vivre, c’est quand ?








15/07/2013

Bonnes vacances à vous!

 

Big Chook de Jeremy Parnell

« Big Chook » (sculpture sur plage) © Jeremy Parnell.


 

J’aime énormément cette sculpture de Jeremy Parnell, composée de fibre de verre et de colle époxy, sur la plage Tamarama de Sydney.

Elle dénonce l’un des travers de notre société qui peut être plus que nocif pour notre santé : se faire « frire » des heures au soleil sur le sable.

Entre deux valises, puisque je pars demain, je la dédie aux rares visiteurs/ses de ce blog et à ses encore plus rares commentateurs/trices en leur souhaitant de très bonnes vacances et en leur donnant rendez-vous ici à la rentrée…





19/06/2013

Te le dire...

 

Esclave de l'amour

Photo « venue » du Web.

 

 

C’est avec un filet de voix que, troublée de tant de temps, de tant d’images, je réussis cependant à Te le dire, avec des ombres sur mes lèvres mais sans baisser la tête et les yeux rivés droit vers Tes yeux.

Et depuis lors, je ne me suis jamais plus échappée (j’ai oublié comment le faire) mais je me laisse traverser sans trêve par les prémices de Ton vouloir, comme par une nécessité plus qu’essentielle. Je veux les devancer, nager entre le feu et la glace, être à Tes côtés avant même que Tu ne m’indiques où Tu Te trouves et quel est le nom que, ce soir, Tu donneras à Ton désir.

C’est avec un filet de voix que je réussis à me faire entendre et, qu’avec la même mesure, mon cœur parvient à Te chanter combien je suis Ton esclave d’amour…

 

 

 

NB en réponse à quelques mails :

Cet « Acte 2 », page intime et pêle-mêle d’une femme comme les autres, ne constitue pas mon blog « officiel » même si c’est sur celui-ci que vous parvenez par les moteurs de recherche.

L’autre existe toujours et nous l’avons repris régulièrement depuis le mois de mars.

Si vous le cherchez et que vous en avez l’adresse, vous pouvez vous y rendre.

Et si vous l’avez oubliée, il vous suffit de taper mon pseudo et les « quatre lettres » qui en constituent la thématique pour le retrouver facilement…  





27/04/2013

Le Mariage pour Tous (vidéo YouTube d'Antonia chez Laurent Ruquier: "Mais qui est vraiment Frigide Barjot?").


Bon, je montre mes papiers d’identité : je suis blanche, française, athée, hétéro, mère de famille (sans être passée par la case mariage) et de gauche (mais vraiment de gauche !). Et, en plus, je travaille. Les blogueuses et blogueurs de Hautetfort auxquels je fais allusion un peu plus bas ne vont pas pouvoir me lapider tout à fait.

Alors, koiki me gratte ce soir? Koiki me déplaît quand j'arrive sur ce site et que j'y découvre les récentes mises à jour des blogs à commentaires fermés?

Pour qui, comme moi, a été ado au moment de la loi Veil pour l’avortement et de celle concernant l’abolition de la peine de mort défendue par Robert Badinter, c’est une fête d’avoir pu voir dans ma vie une troisième fois une avancée humaine et sociétale se faire avec le vote du « Mariage pour Tous ».

Voilà. On comprendra que je ne sois pas du tout d’accord avec les dizaines de posts que j’ai vus défiler pendant des jours sur la page d’accueil de cette plateforme où je suis nouvelle.

A celles et ceux-là, je laisse leurs discours homophobes, racistes et d’extrême-droite (parfois même les trois à la fois : quel tableau !!!).

Maintenant que la bataille de ce « Mariage pour Tous » est finie (même si quelques fâcheux souhaiteraient prolonger une guéguerre de tranchées ad libitum), essayons d’en sourire.

Ci-dessous une vidéo YouTube, un extrait de l’émission de Laurent Ruquier (dont je suis loin d’être fan) « On n’demande qu’à en rire ». Elle présente le sketch d’une jeune humoriste, Antonia, et de ses comparses, un délirant et déjanté « Mais qui est vraiment Frigide Barjot ? ».

Délirant, déjanté, mais la « pasionaria » de pacotille qui nous a tellement saoulés ces derniers mois ne l’est-t-elle pas encore plus ?




 


21/04/2013

Une "page" quant aux notions générales en parfumerie.

 

Profumo di donna, Anna Maria Camurri

Tableau « Profumo di donna » de Anna Maria Camurri vu sur www.pitturiamo.it

 

Pas de véritable note ce soir.

Depuis quelque temps, je me demandais comment démarrer vraiment mes « chroniques de parfums » et j’étais bien embarrassée…Je ne trouvais pas de solution pour débuter sans donner quelques notions générales sur la parfumerie, notions qui seraient - hélas - rébarbatives, en les faisant post après post, pour celles et ceux qui ne passent pas ici pour les parfums.

Or, c’était indispensable car la parfumerie est un art, une mode, un mode de vie selon de quel côté on l’envisage.

Elle est même, dans son évolution, un fait de société et il faut dire certaines choses pour le faire comprendre à celles et ceux qui n’en voient que l’aspect frivole.

Je viens de découvrir dans le « vademecum » de Hautetfort, la notion de « page ».

Et j’ai passé ce samedi à en écrire une, intitulée « Quelques généralités sur les parfums ».

On peut voir ce titre figurer dans une nouvelle rubrique « Pages » en haut de ma colonne de droite.

Vous pouvez la lire dès maintenant comme une note quelconque si vous êtes réellement amateur « dingue » de fragrances ou bien vous y référer de temps à autre lorsque je bloguerai sur les « jus » de ma collection et qu’un terme vous semblera « barbare ». C’est là que vous trouverez son explication.

Cette « page » n’est, bien sûr, nullement exhaustive et j’y reviendrai pour des « retouches » dès que je me rendrai compte des oublis qu’elle comporte sans aucun doute…





26/03/2013

Un nouveau blog? Mais qui suis-je?

 

Valery Bareta, photographie, nouveau blog, nouveau livre

 

Photographie © Valery Bareta.

 

 

 

Qui suis-je ?

Je vous l’indiquerai dans quelque temps lorsque j’aurai pris les marques nécessaires pour configurer au mieux ce blog en faisant un lien dans ma colonne vers mes autres écrits.

 

Pendant sept années, de 2003 à 2010, j’ai tenu quotidiennement un blog sur une autre plateforme (en fait deux puisque lorsque la première a fermé, j’ai tout transporté sur la seconde).

Ce n’était pas un blog comme les autres. Surtout à ses débuts.

Il traitait pour la majeure partie (même si l’on y trouvait aussi des articles sur l’art, la politique, la littérature en général etc.) de la sexualité et même d’une sexualité bien particulière qui se trouvait être la mienne.

Le but, puisque j’inaugurais alors en 2003 l’idée d’entretenir publiquement de « ça », de cette sexualité « à part », des lecteurs « non concernés » par le truchement d’un blog (des sites qui abordaient ce sujet existaient mais je fus le premier blog et de plus non catégorisé « adultes » à en parler), était de faire connaître cette sexualité hors des sentiers battus et des images caricaturales que l’on ne manquait pas de lui attacher de manière récurrente.

 

Je voulais, au jour le jour, raconter simplement (à travers des textes de fiction ou de réflexion, poèmes, recensions de livres, d’expositions ou de films etc.) ma vie et donc aussi l’histoire de mon couple.

Mais j'en faisais plus que tout une question de société, de mode de vie.

 

Durant ces sept ans, la voie étant ouverte, de très nombreux autres weblogs naquirent sur le même thème, certains excellents, d’autres (la majeure partie) bons et enfin une petite minorité versa - comme il fallait bien s’y attendre - dans cet écueil que j’avais évité comme la peste : la pornographie.

Aujourd’hui, il en reste très peu - quelle que soit la catégorie que je viens de définir en trois « styles » - à être encore en activité.

 

C’est chose normale.

La sexualité dont je faisais le fil conducteur de mon blog s’est énormément banalisée.

Ce n’est pas seulement celles et ceux qui avaient, comme moi, choisi le web comme vecteur d’expression qui en sont la cause.

Il faut plutôt chercher du côté de la mode, de la publicité qui ont repris nos codes et les ont vulgarisés.

Les magazines féminins s’en sont fait eux aussi périodiquement le relais.

Le monde de la variété a fait de même et les clips sur Youtube sont légion qui empruntent ces mêmes codes.

Ce ne sont pas les moindres des artistes qui les utilisent : de Madonna à Rihanna en n’oubliant pas Lady Gaga, Christina Aguilera et j’en passe, toutes ces charmantes vedettes des « Awards » ont une fois ou plusieurs été « pêcher » du côté de chez nous les images qui allaient accompagner l’une de leurs chansons…

 

A ce stade, je ne voyais plus trop pourquoi continuer de traiter, moi, ce sujet de façon régulière.

J'en voyais d'autant moins l'intérêt que je juge les « lecteurs » de l’Internet suffisamment mûrs pour distinguer entre ce qui est un usage dans « l’air du temps » des références à cette sexualité et la sincérité pour l’évoquer.

Ils trouvaient cette sincérité dans les quelques blogs qui continuaient à paraître ou dans les pages de ceux qui se sont tus - mais qui représentaient tout de même par leur années d’existence et leur densité - une belle somme sur cette question.

 

 

L’été 2010, j’ai arrêté mon blog pour ne plus y revenir que de manière très sporadique.

Avant tout, mon couple avait traversé des difficultés : mon compagnon m’avait quittée durant cinq mois (de décembre 2009 à fin avril 2010) et j’avais beaucoup publié sur cette rupture.

J’ai plus tard, dans les mois qui ont suivi - et c’est encore le cas aujourd’hui - regretté ces posts mais, dans mon souci de vérité et quoi qu’il m’en coûte, je ne les ai jamais supprimés.

J’ai continué à écrire lorsque nous nous sommes réconciliés et à tenir mon blog comme d’habitude entre l’intime et les événements publics.

Puis l’été est arrivé et - comme toujours - j’ai pris une pause.

 

A la rentrée, je n’ai pas eu l'envie de faire mon retour sur mes pages.

J’avais pour cela quelques bonnes raisons :

 

- Tout d’abord, mon weblog étant très suivi à l’époque, j’avais le désagréable sentiment que mes lecteurs attendaient de moi des nouvelles radieuses de notre « rabibochage ».

Or, si tant est que nous avions été tout au long de ces sept années un duo à mettre sur un piédestal (et c’est vrai que tel était le cas), celui-ci s’était quelque peu fracturé.

Une « rupture » amène de telles questions que la suite immédiate n’est souvent qu’un « remaillage » qui demeure longtemps exempt de certitudes.

Notre couple n’était plus celui d’avant, je n’étais plus la femme (et donc la « blogueuse ») d’avant et je ne me voyais pas tenir un « journal de nos hauts et de nos bas ».

Je me voyais encore moins mentir (ou omettre) de façon à réjouir mon lectorat.


- En ce fameux été de 2010, par ailleurs, la plupart de mes commentateurs qui se trouvaient être aussi blogueurs avaient, tandis que les vacances m’avaient tenue éloignée de toute connexion, rejoint le réseau Facebook.

Ce fut pour moi un désarroi total (j’ai aussi un compte là-bas que je n’utilise que très peu) que de m’apercevoir qu’ils liaient là les notes de leurs weblogs et que les commentaires sur ceux-ci s’étaient extrêmement raréfiés pour faire place à ceux de Facebook, commentaires d’un autre style que je trouvais pour ma part, complètement creux et abscons si on les comparait à ceux qui ornaient leurs notes avant ce méli-mélo avec le « social network ».

Si ces personnes parviennent un jour par un hasard ou un autre sur cette page, qu’elles/ils me pardonnent d’avoir écrit de manière aussi brutale ce que j’ai alors ressenti et qui ne s’est - hélas - depuis, jamais démenti.  

 

- Toujours en cette rentrée 2010, mon fils, alors collégien, utilisait le même ordinateur que moi et mon « thème-à-blog » devenait un sérieux poids.

Tôt ou tard, il serait tombé sur mes brouillons (et le blog lui-même n’était plus très loin d’accès au départ de ceux-ci) et je considérais qu’à l’âge où il construisait sa propre sexualité, celle de sa mère n’avait pas à interférer.

Le temps passant, je me rends compte qu’il connaît (cf. les clips de chansons auxquels je faisais allusion plus haut) aujourd’hui cette sexualité par lui-même et, qu’étant de caractère extrêmement libertaire, il l’accepte comme une « version » de l’amour parmi tant d’autres, sans en faire un problème tout comme il participe aux manifestations en faveur du « mariage pour tous ».

Je suis très fière d’avoir élevé un être libre, passionné de Rimbaud, de Rabelais, de Molière, comme d’Amélie Nothomb ou d’Haruki Murakami, un pur littéraire qui peint et fait du théâtre mais je reste persuadée que c’était un chemin qu’il devait faire seul et je ne regrette aucunement d’avoir, lorsqu’il le fallait, « sacrifié » mon « blog à part » pour lui donner l’occasion de s’épanouir en toute liberté et autonomie.

 

 

Aujourd'hui, mon fils possède son PC et n’a plus aucune raison de « venir fourrer son nez » dans mes affaires.

J'ai donc repris ce fameux blog !


Mais comme j'ai aussi envie de parler de parfums, ma grande passion que j’ai jusqu’à présent laissée de côté (ce qui explique le sous-titre du blog que vous êtes en train de lire) et encore de livres, de films, de photographie, de peinture (et la liste est loin d’être complète…) ainsi que de  l’Eros mais d'une façon plus large et que je voudrais, de la même manière, publier des poèmes, des textes relevant de l'ensemble de mes ressentis féminins et qui n'ont pas leur place là-bas, je m'offre une seconde maison ici sur Hautetfort.

 

En bref, il me fallait deux blogs.

D'où la raison de cet « Acte 2 » qui ouvre ses rideaux ce soir sans que l' « Acte 1 » soit pour autant terminé...